La processionnaire du pin une des espèces modèles pour l’étude des conséquences du changement climatique, retenue au plan national par l’Observatoire National sur les Effets du Réchauffement Climatique (bioindicateur ONERC depuis 2006) et au plan international par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC, citée dans le 4e rapport en 2007).

En Suisse (Jura) nous avons celles du chêne, tout aussi dangereuses. Je ne sais pas si il y a aussi celle du pin, je n'en ai vu pour le moment que sur les chênes.

L'évolution rapide de la colonisation de nouveaux espaces par les differentes espèces de plantes et des animaux est un sujet passionnant et hyper révélateur du changement climatique. Je m'étais intéressé à ce sujet et des plantes rencontrés selon l'altitude dans les Pyrénées : c'est hallucinant de voir que chaque années, des espèces végétales progressent ou régressent de plusieurs dizaine de mètres.

Alors c'est simplement dut au faite qu'il y a 20 ans ont ne olantais pas des pins partout pour gagner de l'argent ont laisser faire les choses forcément si ça devient des monoculture de pin alors ça sera un nid a processionnaire rien a voir avec le climat c'est l'écosystème

Donc les chenilles processionnaires du pin ont appris à nager dans l'estuaire de la Garonne entre 1980 et 2005 (d'après la carte)