2024-11-24 23:19
Ce texte capture l’essence d’une quête de sens dans un monde où les repères se perdent. Les « abscisses désordonnées » traduisent un chaos intérieur, une perte de direction, tandis que l’esclave et l’oiseau incarnent des limites imposées, qu’elles soient sociales ou naturelles. La dernière ligne, « On choisit pas ce qu’on aime », frappe comme une vérité universelle : une acceptation mélancolique de ce qui échappe à notre contrôle.
@dinospichichi @goslo__